CONCLUSIONS

 

Il ne fait plus aucun doute. Au fil des années, les USA sont devenus un pays cher.

Dans les supermarchés, les prix avoisinent les nôtres, en Suisse, pays pourtant faisant référence en la matière. Une chambre dans un motel, au demeurant toujours grande et confortable, coûte au minimum 150$, une autre dans un hôtel d’une grande chaîne oscille entre 200 et 250 $. Il peut être plus intéressant, si on reste plusieurs jours dans une région, de louer une maison ou un cottage. Le choix est vaste, il y en a pour tous les goûts et les prix sont fluctuants. 

Pour notre part, nous avons découvert des logis merveilleux, perdus au milieu de la nature, toujours bien équipés. L’accueil, le plus souvent géré par Internet, a toujours été d’excellente qualité.

 

 

Petits-déjeuners et dîners demandent aussi un certain investissement. La facture est alourdie du pourboire obligatoire variant entre 18 et 25%. Une bonne cuisine, pas très élaborée, mais la viande aux États-Unis est délicieuse. Pour ceux qui aiment, le poulet est à la mode…

Du 3 septembre au 9 octobre. Nous avons bénéficié d’un climat agréable, entre 15 et 25 degrés la journée, plus frais la nuit. Le soleil nous a presque toujours accompagnés et nous avons eu une seule journée de pluie, à Crater Lake. Mais la chance était avec nous, je suppose. 

Nous ne l’avons fait qu’à deux reprises, mais à cette époque de l’année, il est aisé de trouver des logis à la dernière minute, même si plusieurs établissements affichaient « no vacancy ».

Ce qui ne signifie pas qu’il n’y avait pas de monde, au contraire. A l’exception de John Day National Monument et de Crater Lake, nous avons croisé pas mal de touristes. Des Américains pendant les deux tiers du voyage, puis beaucoup d’Asiatiques. Yosemite National Park a atteint le sommet. Presque insupportable, malgré les paysages de rêve. Je n’ose pas imaginer ce qu’il se passe en été.

La vieille recette de se rendre tôt sur place n’a pas fonctionné très bien. Les Américains sont des gens qui se lèvent avant nous… En fin de journée, c’était mieux. 

Pendant tout le voyage, la courtoisie et le sourire étaient de mise, même à San Francisco. Une façon d’aborder la vie bien différente de chez nous.

Un dernier mot pour rire. La vieille légende que les Américains respectent la vitesse imposée sur les routes a la peau dure, mais elle est totalement usurpée.

 

 

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