Depuis Beverly Hills, au milieu des résidences huppées des stars, le regard plane le long des pentes de la colline jusqu’à la plaine où semble s’étirer paisiblement la mégapole dans un cadre verdoyant… Los Angeles est belle.
Illusion qui se dissipe brusquement lors de l’arrivée en ville. Une circulation infernale nous happe et nous mettons plus de deux heures pour arriver à Malibu. Certes, un splendide coucher du soleil nous accompagne, mais pas question de s’arrêter…
Fallait-il donc passer deux jours dans la capitale de la musique et du cinéma ? Question de points de vue, sans doute. Personnellement, je m’en serais bien passé, mais il est connu que je n’aime pas les villes.
Autant se souvenir de ses contrastes, tels ces minuscules cafés enserrés dans des gratte-ciels ou ses quartiers luxueux où les clochards vous demandent une cigarette. Autant se découvrir une vocation d’acteur en se promenant sur les étoiles et les pas des plus grands sur Hollywood Boulevard. Autant redevenir gamin en intégrant l’équipe de quidditch d’Harry Potter ou en fuyant le T-Rex qui vous guette à Universal Studio.