Depuis des années, la Norvège revient régulièrement dans nos projets de voyage. En particulier, ces derniers trois ans nous avons voulu partir deux fois. Tout était prêt, plan de voyage, réservations, rêves d’aventure. Mais un grain de sable passait toujours par là.
Cette fois-ci, rien ne peut nous arrêter. La Norvège est prévue et la Norvège sera !
Trois semaines. Peut-être un peu court pour ce grand pays. Mais rien nous interdit d’y revenir.
♥ NOTRE ÉQUIPE
Sophie et Christian ne sont pas uniquement des amis, mais aussi des inconscients qui ont déjà partagé certaines de nos aventures. Ils sont prêts à nous suivre à nouveau.
Alors, parés à l’envol, les amis ?
♥ NOTRE VOYAGE
Presque 325000 kilomètres carrés, 2500 kilomètres de côtes continentales toutes en longueur, un réseau routier en excellent état avec des limitations de vitesses draconiennes. Il a fallut faire preuve d’imagination pour concocter un plan de voyage.
En avion jusqu’à Oslo, une voiture de location que nous rendrons à Narvik et un retour sur la capitale en avion sont les bases du projet.
Puis quelques longues étapes de transfert seront la rançon à payer au choix de rester le plus longtemps possible là où nous avons fixé nos objectifs.
♦ Runde, minuscule île perdue au bout d’un chapelet de consoeurs, toutes reliées par une série de ponts, merveilles de la technologie norvégienne.
Sanctuaire d’oiseaux mondialement connu, elle ne pouvait pas échapper à Christine et à moi-même, d’autant plus que Sophie aime photographier les oiseaux. Christian, lui, est un excellent pisteur…
Le charmant et coloré Macareux moine est le symbole de Runde, mais d’autres espèces nous attendent.
Pour cela nous passerons deux jours sur l’île.
♦ Le parc national de Dovrefjell-Sunndalsfjella : derrière ce lieu au nom imprononçable se cache la possibilité de rencontrer et d’observer le Bœuf musqué, cet étrange animal qui nous a fui dans l’Arctique canadien.
C’est le seul endroit en Europe continentale où vit cette merveille aux allures préhistoriques. Réintroduit dans les années 30, il profite de l’absence de prédateurs naturels pour accroitre ses effectifs.
Trois jours complets sur place nous ont semblé être un bon pari pour mettre toutes les chances de notre côté. Mais il n’est pas le seul habitant des environs. Élans et oiseaux abondent dans le coin.
♦ L’île de Senja : cette grande île est, paraît-il, une Norvège en miniature. Un concentré de forêts et lacs, fjords et montagnes, des routes spectaculaires, même un parc national.
Nous y serons entre le 26 et le 30 juillet, en pleine période touristique. Toutefois, Senja semble être encore ignorée par le tourisme de masse. Nous trouverons peut-être quelques coins où admirer les splendides paysages norvégiens en solitude.
♦ Les îles Lofoten ne nécessitent guère de publicité. Fameuses dans le monde, elles sont le site le plus visité de Norvège. Autant dire qu’il ne faut pas s’attendre à nous retrouver seuls…
Formées de cinq îles reliées entre elles par des ponts ou des tunnels, elles sont trop grandes pour être explorées en six jours. Nous nous concentrerons sur leur partie sud, entre Hanoy et A, en faisant une première étape à Kabelvag pour continuer ensuite vers Reine, afin d’éviter de parcourir trop de kilomètres.
Nous aurons largement de quoi faire. Au delà de la contemplation de la nature, il y a un intérêt faunistique évident. Les oiseaux marins sont très présents, ainsi le Pygargue à queue blanche dont un cinquième de la population mondiale vit ici.
Voilà. Vous savez tout. Si vous souhaitez continuer à suivre notre voyage, vous n’avez qu’à cliquer sur les liens ci-dessous.